Que faire lorsque le plafond de versement de son livret A est presque atteint ? Plusieurs enveloppes permettent de continuer à développer son épargne et commencer à investir.
Le Livret A n’est pas le produit le plus adapté pour financer l’achat d’un bien immobilier ou encore préparer sa retraite, par exemple. Pour atteindre ces objectifs, il faut mettre en place une stratégie d’investissement. Mais quels placements choisir ?
Plusieurs critères doivent être pris en compte :
En plus de ces éléments, il faut aussi être vigilant sur deux points. Le premier est de s’intéresser et de comprendre les placements proposés. Le second porte sur la nécessité de diversifier ses investissements, de manière à diluer les risques inhérents à un seul placement, ou secteur d'activité ou zone géographique. Il ne faut pas hésiter à diversifier les classes d’actifs, en investissant par exemple en immobilier, obligations, actions, private equity…
Enfin, si l’on ne dispose pas d’un capital de départ important mais plutôt d’une capacité d’épargne régulière, les « versements programmés » sont parfaitement adaptés. Il s’agit d’investir de manière récurrente une même somme. Cela contraint à une véritable discipline de dépenses et d’épargne, tout en permettant de lisser ses investissements sur la durée et d’atténuer ainsi les soubresauts et les fluctuations que pourraient rencontrer ses placements.
Il existe plusieurs options d’investissement, en voici quelques exemples :
L’épargne constituée sur un contrat d’assurance-vie est disponible à tout moment, elle peut être récupérée en une ou plusieurs fois, ou encore sous forme de rente. Les plus-values du contrat d'assurance-vie bénéficient d’une fiscalité avantageuse à partir de la huitième année de détention.
En fonction de son profil d’investisseur, il est possible de se tourner vers des fonds en euros garantis mais peu rémunérateurs, ou vers des unités de compte. Ces dernières présentent plus de risques, mais bénéficient d’un meilleur potentiel de performance. Elles peuvent être notamment investies sur les marchés actions ou sur de l’immobilier.
Les actions ou les fonds investis en actions européennes sont accessibles au PEA. Les plus-values sont soumises à une taxation réduite dès la cinquième année du contrat. Les actions présentent un risque de perte en capital.
Comme son nom l’indique, le Plan Épargne Retraite est destiné à se constituer une épargne qui pourra compléter la pension de retraite. Le capital est débloqué à la fin de la carrière professionnelle, sauf dans certains cas, comme l’achat de la résidence principale. Un de ses principaux avantages est de pouvoir déduire les versements de ses revenus imposables (dans certaines limites).
Le remboursement est assuré par les loyers perçus ainsi que par sa capacité d’épargne. Attention, il ne faut pas tenir compte exclusivement des revenus provenant des loyers, compte tenu de leur caractère aléatoire, pour faire face à ses obligations de remboursement.
Maison, appartement, mais aussi pour les plus petits budgets, garages, box, places de parking sont des placements possibles. Autre choix : investir en immobilier indirectement en souscrivant des parts de SCPI (Société civile de Placement Immobilier). Il s’agit d’acquérir des parts de ces sociétés qui vont acheter et gérer des biens à sa place. Pas de contraintes quotidiennes donc, et un investissement possible à partir de quelques centaines d’euros.
À l’heure où les ETF séduisent de plus en plus d’investisseurs, la question mérite d’être posée. Entre promesse de performance, coûts réduits et vrais enjeux de diversification, faisons le point sur deux approches qui façonnent le paysage financier d’aujourd’hui.
Dans un contexte où les épargnants français recherchent du sens et de la rentabilité pour leur patrimoine, une opportunité se distingue : la dette privée. En effet, cette classe d’actifs permet de financer directement les entreprises tout en générant des revenus réguliers et attractifs. À mi-chemin entre rendement, diversification et utilité économique, elle s’impose comme un trait d’union puissant entre les besoins de financement de l’économie réelle et les objectifs patrimoniaux des investisseurs.
Au 1er trimestre 2025, le taux d’épargne des Français s’est établi à 19,1 % du revenu disponible, ce qui correspond à plus de 1 000 milliards d’euros, un record historique. Le patrimoine financier des ménages atteint désormais 6 500 milliards d’euros affectés pour les deux tiers, à parité, en dépôts ou livrets réglementés et en assurance-vie.
Cette affirmation attribuée au père de la physique moderne, Albert Einstein, souligne l’idée que la connaissance, aussi rigoureuse soit-elle, devient stérile si elle n’est pas accueillie dans un climat de confiance mutuelle.
Dans un monde patrimonial en mutation, le Family Office s’impose comme un acteur central pour accompagner les grandes fortunes dans la gestion stratégique et durable de leur patrimoine. Ce chef d’orchestre discret mais décisif aide les familles à conjuguer pérennité, diversification et vision à long terme.
Investir en Bourse peut sembler complexe, mais certaines stratégies rendent l’expérience plus accessible et lisible. Le mandat Action Europe Dividendes, géré par Zenith Asset Management*, en est un bon exemple : il mise sur la solidité des grandes entreprises européennes et leur capacité à verser des dividendes réguliers.