Frédéric Fouret a porté le maillot de l'OL au milieu des années 1990. Après une belle carrière professionnelle, il a réussi sa reconversion, au sein des équipes Laplace Sport.
Article Le Progès
Rédigé par Christian Lanier
Frédéric Fouret s’est construit à travers un parcours fait de travail et de modestie. « Je venais de Thonon. Je suis arrivé en sport-études au lycée Fays. Et à l’OL, il a fallu s’entraîner tous les jours, faire ses preuves, être meilleur que la veille. La charge d’entraînement était énorme » Alain Blachon, José Broissart, Gérard Bonneau, Armand Garrido sont ses mentors. Il découvre tout : « L’école de l’OL m’a inculqué la rigueur »
L’égal de Cantona en Gambardella
« Fred » partage avec Eric Cantona (Auxerre-Montpellier en 1985) le privilège d’avoir signé un triplé en finale de Gambardella. « Cette victoire validait la formation et les liens que l’on a eus avec les éducateurs », se souvient-il. Les lois de la concurrence l’ont poussé loin de Lyon. Il a appris : « J’ai fait un bon tour de France. Le foot, c’est l’école de la vie, ça nous apprend nos limites, nos forces, nos faiblesses, vivre en société. Savoir se relever, ne pas s’enflammer ».
Son sens du contact, l'a propulsé vers le sport: « Depuis 12 ans, je m'occupe de la gestion de sportifs de haut niveau pour le groupe Laplace à Monaco. Je ne suis pas agent. On s'occupe de tout ce qui est en dehors du terrain, de la gestion patrimoniale, administrative. On a plus de 400 joueurs de foot et rugby en France et à l'étranger. Les joueurs sont jeunes, gagnent beaucoup d'argent et le but c'est d'optimiser tout ça, pour qu'ils ne pensent qu'à leur pratique »
En marge de son métier, il a remis les crampons : « Pendant 10 ans, j'ai été éducateur à l'OGC Nice. J'ai adoré enseigner ce que j'avais appris »
Sportif accompli, il s'est lancé dans le trail, fait du vélo, nage en mer, va au fil de l'eau en paddle. Et le foot, lui, l'a rattrapé en forme de clin d'œil : « J'ai fait mon premier match en pro avec l'OL à Nice au stade du Ray et là j'habite tout près. J'entraine les attaquants d'un petit club de l'Entente St-Silvestre sur l'ancien terrain du Ray, c'est marrant. » Le lien est toujours là et son admiration pour l'OL ne l'a jamais quitté.
Source : Le Progrès
Benoist Lombard, Président Maison Laplace et Directeur délégué de Laplace, et Mélanie Collu, Directrice Family Office de Maison Laplace, livrent leur analyse sur les atouts et limites de la SCI dans une stratégie patrimoniale.
La gestion des biens de famille et de ceux hérités de ses parents est encadrée en France par des règles juridiques claires et précises. La situation est plus complexe pour les Français de l’étranger. Comment gérer son patrimoine quand on vit à l’étranger ? Quels sont les problématiques et les enjeux patrimoniaux liés à l’expatriation ? Benoist Lombard est le directeur général délégué de Laplace, une société de conseil en gestion de patrimoine.
Comme d'autres routiers aguerris des voies patrimoniales, Benoist Lombard, directeur général délégué de Laplace, société de conseil en gestion privée du groupe Crystal, juge indispensable d'insister sur le bien-fondé de quelques vieux principes structurels pour résister aux aléas conjoncturels. « Il convient avant toute chose de garder en tête son horizon de placement qui, dès lors qu'il atteint ou dépasse cinq ans, permet de travailler la granularité de sa stratégie de diversification afin d'en optimiser le rapport rendement-risque ».
Retrouvez l'échange entre Benoist Lombard, DGA Crystal et Président de la Maison Laplace, et Olivier Samain de Selencia Patrimoine, sur les actualités du groupe Crystal et du think tank UCGP.
"Le patrimoine financier des ménages français et européens est très conséquent et se chiffre en plusieurs milliers de milliards d'euros. Un réflexe naturel lorsque planent de nombreuses incertitudes. Si le flux d'épargne est donc très conséquent, il est majoritairement fléché vers des produits de taux, sinon en simple dépôt dans les livres de nos banques. Afin de créer de la valeur et au minimum de compenser l'inflation, la seule solution est d'investir".
"La solidité de l’assureur est un premier élément majeur pour juger de la qualité d’une assurance-vie, analyse Martin Alix, directeur développement produits de Primonial (groupe Crystal). Ce qui passe par un regard sur son ratio de solvabilité et sa notation, puis sur la teneur de son actif en euros."