L’épisode de stress sur le secteur bancaire (Silicon Valley Banque et Crédit Suisse) s’est traduit par une remontée de l’aversion au risque. La valeur des actions a baissé et celle des obligations d’État remonté.
Ce mouvement de balancier montre que nous sommes revenus dans un monde normal de l’investissement. En fonction de la perception des investisseurs sur l’état futur de l’économie, les capitaux passent des actions (pour capter la croissance future) aux obligations (pour servir de valeur refuge).
En cas de décès, si rien n’est prévu, les héritiers, les parts d’héritage et les droits de succession sont fixés par la loi. Faut-il anticiper ou subir une transmission ?
La non-indexation à l'inflation du barème de l'impôt sur le revenu, entre 2018 et 2022, génère un surplus d'impôt. Pour 50k€ de revenus taxables, un célibataire paye 4 % d'impôt sur le revenu supplémentaire en 2022.
Les indicateurs clés : évolution des indices actions et obligations
Les fluctuations des économies jouent sur les actifs financiers. En fonction de la position dans le cycle économique, certains actifs sont plus adaptés que d’autres. En 2004, Merrill Lynch a publié une étude sous le titre « Investment Clock » pour proposer un schéma d’investissement sur les grandes classes d’actifs en fonction du cycle économique. Reprenons ses principes et tentons une application à l’environnement actuel.
Les indicateurs clés : évolution des indices actions et obligations
Les dirigeants entre 41 et 60 ans représentaient plus de 60 % des dirigeants de PME en 2017, la majorité de ces personnes se poseront donc, dans les années à venir, la question de la transmission de leur outil professionnel.