Être mieux conseillé : le rôle du CGP
Construire une stratégie patrimoniale cohérente avec son profil et ses objectifs
Fiscalité, réglementation, rendement, risque… Les thématiques à maitriser pour épargner ne manquent pas. La situation est d’autant plus complexe qu’elles sont liées entre elles. C’est pourquoi, il est essentiel de se faire accompagner par un conseiller en gestion de patrimoine. Grâce à une analyse à 360 degrés de votre patrimoine, il mettra en place avec vous la meilleure stratégie possible.
Le bilan patrimonial, une étape incontournable
Le bilan patrimonial, une étape incontournable
Les placements financiers et les solutions patrimoniales ne sont pas des produits comme les autres. C’est pourquoi, pour bien construire votre stratégie patrimoniale, il est recommandé de vous adresser à un conseiller. Pour vous accompagner au mieux, il réalisera avec vous un bilan patrimonial.
Lors de votre rencontre, le conseiller en gestion de patrimoine fera un tour d'horizon de votre situation fiscale et patrimoniale et de vos objectifs. À partir de ces informations, il pourra vous proposer les placements et les montages les plus adaptés à votre situation. Le bilan patrimonial détermine les points forts et les points faibles de votre situation patrimoniale (trop d'immobilier, pas assez de liquidités, etc.). Il détermine également les axes stratégiques à mettre en œuvre pour améliorer votre situation patrimoniale et votre épargne.
Éléments à prendre en compte
Pour bien préparer votre rendez-vous, il est important de vous poser en amont la question de vos objectifs patrimoniaux. Vous devez également disposer de toutes ces informations :
- les avis d'imposition,
- les relevés de votre (ou de vos) banque(s),
- une estimation de vos biens immobiliers,
- le montant des crédits à rembourser,
- vos comptes épargne,
- et vos valeurs mobilières.
Votre situation patrimoniale prendra également en compte :
- la composition familiale,
- votre régime matrimonial,
- et votre situation professionnelle.
Plusieurs temporalités
En fonction de vos objectifs, vos besoins seront analysés à :
- court terme (1 an environ),
- moyen terme (2 à 5 ans),
- et long terme (5 ans et plus).
Un suivi continu
Pour que ce bilan patrimonial soit pérenne dans le temps, il est important que votre conseiller vous suive dans le temps pour coller au plus près de votre profil et de vos objectifs. Cela peut prendre la forme de rendez-vous téléphonique ou physique au moins une fois par an pour prendre en compte tout changement.
La réussite d’une entreprise repose nécessairement sur un ensemble de facteurs économiques et conjoncturels, qui ne suffisent pas à eux seuls à assurer le développement de la société. Le dénominateur commun à la croissance d’une entreprise est par essence l’Humain, et plus particulièrement les « hommes-clés » que l’on retrouve derrière chaque projet entrepreneurial.
Avec une dette publique dépassant 115 % du PIB et un déficit persistant de 5,4 %, la France traverse une zone de turbulences sans précédent.
Le projet de loi de finances pour 2026, tel que présenté en Conseil des Ministres le 14 octobre 2025 envisage d’instaurer de nouvelles impositions et la suppression ou modification de certaines mesures fiscales.
En France, près de 37 000 transmissions ont été enregistrées en 2024 et la vague de départs à la retraite des dirigeants va se renforcer : sur la décennie à venir, environ 500 000 entreprises vont être transmises. La préparation de cette transmission est le gage de la pérennité de l’entreprise.
Créer une entreprise, la faire grandir, la céder ou la transmettre : derrière ces mots se cache une aventure humaine et économique, jalonnée de choix déterminants. À chaque étape, le dirigeant se retrouve face à des décisions qui engagent son avenir, celui de son entreprise et de sa famille. Et dans ce parcours, une certitude s’impose : l’accompagnement n’est pas une option, mais un levier de réussite.
Il y a des idées qui reviennent régulièrement dans le débat public, portées par la promesse d’une « justice fiscale » et d’un monde meilleur. La taxe Zucman, impôt plancher sur la fortune (IPF) de 2 % sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, en est l’exemple parfait. Mais, derrière la façade a priori séduisante de la lutte contre les inégalités, cette mesure relève surtout d’une démagogie fiscale qui ignore la réalité économique, juridique et même… mathématique.