La baisse de l'inflation et le ralentissement de l'activité sont au cœur des préoccupations des intervenants de marché.

Les prix de l'énergie et alimentaires se sont globalement stabilisés, reste les services qui font preuve d'une inertie notamment liée au dynamisme du marché du travail. 

Les taux obligataires sont restés fermes sur la période récente en attendant la décrue. 

Dans ce panorama, les États-Unis se montrent plus résilients que l'Europe, favorisant une hausse du dollar contre euro et le maintien de valorisations élevées sur les actions US lorsque leurs homologues européennes s'effritent légèrement.