En 1908, la forêt couvrait 19 % du territoire métropolitain, avec près de 10 millions d’hectares. Aujourd’hui, elle en couvre plus de 31 % et représente 17,5 millions d’hectares.
Ce pourcentage de 31 % est également celui de la surface du globe recouverte de forêts.
Après l’agriculture qui couvre plus de la moitié de la France métropolitaine, la forêt est l’occupation du sol la plus importante.
Cette extension de la superficie forestière est constante depuis le siècle dernier et s’accélère depuis 40 ans : + 21 % depuis 1985. Elle concerne d’une part le grand arc méditerranéen et la Corse, et d’autre part la Bretagne et les Pays de la Loire.
Dans les régions traditionnellement forestières, comme le nord-est et le massif landais, la progression est moindre. Ce constat est aussi valable en région parisienne du fait de la pression urbaine, l’artificialisation des terres empiétant sur l’espace agricole.
Primordiales à l’équilibre de la vie humaine, refuge de nombreuses espèces animales et végétales, les forêts sont le poumon de notre planète et notre principale alliée contre le réchauffement climatique.
Nos actions de reforestation participent ainsi à la sauvegarde de notre équilibre planétaire.
45 milliards, c'est la somme des levées des fonds non cotés qui ont investi dans les PME/ETI en France en 2024.
45,6 %, c’est le poids des prélèvements obligatoires en France en 2023, soit la part du PIB consacrée aux impôts et cotisations sociales.
50 % est, pour un cadre, le taux de remplacement, soit le rapport entre la pension de retraite perçue et le revenu gagné en activité.
La Banque centrale européenne (BCE) a décidé, lors de sa réunion du 17 avril 2025, d'abaisser son taux d'intérêt directeur de 0,25 % pour le fixer à 2,25 %. Cette décision, largement anticipée par les marchés financiers, marque la septième baisse dans ce cycle d'assouplissement monétaire entamé en juin 2024, lorsque le taux était encore à 4 %.
Tel est le montant de l'épargne des Français, soit l’équivalent de plus de deux ans de la productivité annuelle de notre pays (PIB).
Bien difficile de déterminer le nombre d’entreprises qui seront cédées en France dans les 10 prochaines années, puisque la Direction Générale des Entreprises au sein du ministère de l’Économie estime que ce nombre est compris entre… 250 000 et 700 000. La fourchette est large.