Monsieur Antunes, chef d'entreprise dans le secteur de l'information, nous a été prescrit par un expert-comptable en région parisienne.
Il nous a été recommandé alors qu'il entamait la dernière ligne droite de la cession de son activité professionnelle.
Le produit de cession à venir, soit 1,5 million d'euros nets (après retraitement des frais engagés pour la cession et de la fiscalité afférentes), doit lui servir de base à la création de revenus complémentaires à l'issue de sa période d'accompagnement du repreneur.
Une fois la période d'accompagnement achevée, il souhaite pouvoir profiter de sa fille et prendre quelques mois de réflexion.
Monsieur Antunes est jeune, puisqu'il a 48 ans, et reste désireux de continuer une aventure entrepreneuriale, mais différemment. Il souhaite que cette période soit mise à profit pour trouver un concept ou une idée de business qu'il pourrait faire germer.
Ainsi, tenant compte des éléments précités et de son projet de vie, nous avons bâti une allocation qui reprend plusieurs aspects :
Le schéma ci-après illustre la diversification des sources de revenus et l'optimisation de leur fiscalité, et permet ainsi de répondre aux besoins de Monsieur Antunes et aux objectifs fixés lors de nos entretiens. Le suivi du dossier et ses évolutions dans le temps feront également partie intégrante de notre mission d'accompagnement, afin d'amender si nécessaire la stratégie mise en place.
Dans les deux cas de figure, il s'agit d'un grand-père veuf, Monsieur Ansel, qui a une fille unique Alma, divorcée et mère d'un seul enfant, Arthur. Par hypothèse, le petit-fils décède après son grand-père et avant sa mère. Afin que le père de cet enfant (qui est héritier en cas de décès) ne reçoive rien au décès de son fils, on optera pour une donation soit graduelle, soit résiduelle.
Monsieur et Madame Arnaud, respectivement âgés de 83 et 82 ans, souhaitent organiser la transmission de leur patrimoine en assurant une transmission équitable à leurs enfants et en optimisant les droits de transmission.
Mme Aubrée, 37 ans, et Mme Allard, 52 ans, sont les deux associées d'une SARL prospère dans le domaine de l’immobilier. Mme Aubrée détient des parts de la société évaluées à 350 000 €, tandis que Mme Allard possède des parts d'une valeur de 500 000 €. Les deux femmes décident de prendre des mesures pour sortir de l'indivision.
Voici Alexandre, âgé de 42 ans, et Amélie, âgée de 45 ans, ensemble, ils font l’acquisition d'un bien immobilier à Montpellier dans le but de le louer, souhaitant ainsi constituer un patrimoine et profiter d'avantages fiscaux.
Anne et Adam, un couple de trentenaires, ont décidé d’investir dans l’immobilier locatif. Anne travaille comme ingénieure et Adam est consultant en finance. Ils possèdent déjà un appartement qu’ils louent, mais ils veulent diversifier leur portefeuille d’investissement en acquérant un nouvel appartement qu’ils pourront également mettre en location.
Albert, 59 ans, chef d’entreprise, marié sous le régime de la communauté réduite aux acquêts, 3 enfants. Il est le fondateur d’une entreprise florissante dans le secteur du recyclage et à quelques années de la retraite il vient d’être approché par un de ses concurrents intéressé par la reprise de sa société.